François JULIEN-LABRUYERE
Notes
Je dois énormément à mon ami François JULIEN-LABRUYERE que j’ai connu dans les années 1980 quand il était responsable des études au CETELEM, entreprise qu’il n’a pas quitté jusqu’à la retraite.
Nous avons tout de suite sympathisé et, de plus, avons découvert que nous étions tous deux charentais. Le premier cadeau qu’il m’a fait était un livre savant qu’il avait écrit sur la Saintonge Maritime.
Mais aussi j’ai pu grâce à lui travailler dans le domaine des études sémantiques et réussir à installer le premier système d’analyse automatique de la satisfaction des clients dans l’entreprise, avec la complicité de mon autre ami Jacques LA NOE. Cette expérience a d’ailleurs fait l’objet d’un article dans Communication et Langage en 1987 que vous pouvez aller lire.
J’ai aussi participé avec lui et tous les cadres commerciaux (je me souviens d’Alain AMBROSINI) au lancement de la filiale CARDIF (Banque Assurance). Deux ans de travail permanent, avec formations des cadres et écriture des documents de vente des commerciaux en agence. J’ai pu aller jusqu’à m’installer dans une agence et montrer comment placer des contrats Cardif.
Mais ce n’est pas tout, c’est grâce à François que j’ai pu contacter quelques clients du Cetelem et surtout que j’ai pu connaitre et travailler pendant quelques années avec Bernard DARTY, à l’époque de la création du contrat de confiance. (voir la fiche).
Pour tout dire, j’ai toujours admiré François, pour sa capacité à travailler sans relâche, et pour être capable par la suite d’être responsable des ouvertures d’implantations du Cetelem à l’étranger, d’apprendre toutes sortes de langues, et de continuer à écrire des livres sur la Charente, et mieux encore de créer la plus grande maison charentaise d’éditions spécialisée : Le Croît Vif, qui doit avoir à ce jour édité autour de 4 à 500 livres ! François a toujours été très impliqué dans nos Charentes natales, il fut même DG de l’Abbaye aux Dames à Saintes en plus de tout le reste.
Merci de t’avoir connu !